Je ne compte plus le nombre de fois où j’ai eu cet échange avec des salariés. En effet, il est parfois difficile pour un salarié de remettre en question son travail. Les années passent, la routine s’installe et nous n’arrivons plus à sortir la tête de l’eau, nous sommes comme happés par le quotidien.
Mais pourquoi réalisons-nous cette tâche depuis tant d’années ? à-t-elle toujours sa place dans l’organisation ?
Cilience définit une entreprise en organisation résiliente lorsque celle-ci a conscience d’elle-même. En d’autres termes, il d’agit d’avoir conscience de la situation de l’entreprise à tous les niveaux hiérarchiques. Du dirigeant avec la santé financière de son entreprise, mais également, du salarié et de sa compréhension effective de ses pratiques professionnelles quotidiennes.
La direction et le personnel doivent pouvoir remettre en question leurs principes suivants : managériaux, organisationnels, situationnels, ou encore opérationnels. En effet, ces principes permettent de développer davantage l’entreprise grâce à une « réflexion permanente ». Cette « réflexion permanente » consiste à identifier les atouts générateurs de valeur pour l’entreprise en termes de gains d’efficacité, d’améliorationdes processus ou d’engagement des employés.
Néanmoins, les chefs d’entreprise ne sont pas nécessairement en phase avec cette démarche de résilience organisationnelle, en partie par ignorance, mais surtout parce qu’ils sont trop occupés.
Les entreprises agiles, à Toulouse, en Occitanie et en France de 2025 devront être réactives avec des salariés poly-compétents, elles devront adopter la résilience organisationnelle pour se démarquer face à la concurrence et garder une place prépondérante sur son marché.
Chefs d’entreprise, anticipez et améliorez votre quotidien ainsi que celui de votre personnel !
Dans le prochain article, mon associé co-fondatrice, Marion DUPONT évoquera les clés de la résilience organisationnelle.
Christopher AVRIL
Fondateur associé de Cilience